21 Mars 2018
4ème de couverture : La famille Delbast est catholique. Cinq frères et sœurs précèdent Fanny, qui est arrivée bien après les autres, sans qu’on l’attende et sans qu’on la souhaite. Petite fille solitaire, Fanny adore son père, mais il ne la voit pas. Trop de choses les séparent, trop de vie, de retenue aussi. A cinquante ans, Fanny lit les lettres envoyées du front par son père, qui lui dévoilent un jeune poilu pétri d’angoisse très différent de l’homme autoritaire qui l’a élevée. A la lumière de cette découverte, elle tente alors de trouver, auprès du veuf centenaire dont elle prend soin désormais, une place qui ne lui sera plus contestée. C’est avec une sensibilité remarquable que Véronique Olmi aborde le thème de l’amour filial comme prétexte à une critique subtile de la bourgeoisie catholique, et de l’insidieuse violence dont est capable ce monde bien-pensant.
Pffff... Roman sur la place dans la fratrie, les rapports parents-enfants, frères-sœurs...écrit en monologue, un peu style journal intime...
Veut dire beaucoup mais sous-entend plus qu’il ne raconte. Il faut quand même énormément savoir lire entre les lignes... petit livre d’une centaine de pages qu’on lit très rapidement, et tant mieux! Ça permet de passer à autre chose! Bref tu l'auras compris, j'ai pas aimé.
#bofbof
#maisçaracontequoienfait